Nous approuvons l'affectation des locaux des lycées à des activités autres que scolaires, à condition qu'elle soit encadrée. Aux termes de la rédaction adoptée en première lecture, les locaux peuvent être utilisés « pour les besoins de la formation initiale et continue », mais aussi « pour les besoins de l'éducation populaire, de la vie citoyenne et des pratiques culturelles et artistiques » – c'est-à-dire sur tous les sujets – « par des associations ». Or il importe de préserver la vocation éducative de l'usage de ces locaux.