Je rappelle à nos collègues qui s'intéressent de près à la bonne gestion des établissements publics, et qui craignent que le contribuable ait à payer davantage, qu'ils ont la mémoire courte. En effet, quand l'État demandait aux établissements publics de vendre au prix du marché, voire le plus cher possible, des terrains ou des bâtiments, il mettait un nombre croissant de communes dans l'incapacité de les acquérir. On a abouti à des catastrophes comme celle de l'Imprimerie nationale.