Nous venons d'avoir un débat passionné. L'article 2 comporte selon moi deux sujets importants qu'il ne faut pas superposer. Le premier vient d'être évoqué, c'est la question de l'attractivité de nos établissements français d'enseignement supérieur. Il en est un deuxième, lui aussi lié à une problématique linguistique, c'est celui de l'employabilité et de la formation de nos étudiants français.
L'Alsace, que je connais bien, compte aujourd'hui 60 000 personnes qui travaillent de l'autre côté du Rhin.