Même avis, en réaffirmant l'attachement du Gouvernement à défendre la francophonie. J'en profite pour dire que celle-ci est aussi un combat au sein des instances européennes.
Je rappelle que mes collègues et moi-même avons réussi à convaincre nos homologues européens que le programme Erasmus devait conserver son nom, et non pas devenir Yes Europe, comme le souhaitait l'allemande Doris pack – même David Willetts, le ministre anglais de la recherche, a dit « no » à Yes Europe, ce dont nous nous réjouissons. Ce combat que nous avons mené, chacun d'entre nous doit s'en sentir porteur.