Madame la ministre, j’ai deux mots à vous dire au sujet de l’article 2… Cet article porte la marque des cervelles lavées qui excellent à s’exprimer en globish et pensent ainsi se faire comprendre de la terre entière. Certes, la commission a apporté quelques modifications au texte initial, mais ces modifications sont purement cosmétiques ! Il faut regarder les choses avec responsabilité et objectivité. Parler une langue étrangère est aujourd’hui une évidence ; deux, c’est encore mieux. De ce point de vue, je crois que nous devons encourager l’enseignement des langues étrangères pour tous les étudiants –- et peut-être même pour certains députés.