Puisque, d'après vous, madame la présidente, le GIP ne sera pas créé, une autre manière de progresser pourrait être de renforcer les centres régionaux de pharmacovigilance. On sait le mal qu'ils ont à exister dans certains CHU et combien ils manquent de moyens. Il avait été un temps question de conventions tripartites entre ces centres, l'ANSM et les agences régionales de santé, afin de mieux les doter en personnels et faciliter leur tâche. Où en est-on ?