Mais c'est vous qui en faites un argument pour démontrer que cette réforme n'est pas nécessaire et qu'il importe surtout de faire mieux fonctionner la justice. Eh bien, nous nous y employons, et je vous explique comment nous procédons !
En conclusion, la réforme du Conseil supérieur de la magistrature s'inscrit dans un mouvement de consolidation de nos institutions, dans un processus historique de démocratisation et il est une marque de confiance dans les magistrats.