Je vous prie de m'excuser, monsieur le ministre, mais compte tenu du peu de temps imparti aux non-inscrits, je vais me contenter d'une réflexion très générale.
Je dois accorder au Gouvernement le mérite de la cohérence : à la suite de l'UMP, vous avez décidé de brader la souveraineté de la France dans tous les domaines, économique, monétaire, budgétaire. Et maintenant vient le tour des armées.
Coûte que coûte, vous voulez faire de la France un pays sous influence et sans influence, au destin lié.