Lorsque la présidence française a ouvert le grand chantier de l'environnement, ce fut un vrai élan. Aujourd'hui, l'on ressent plutôt des crispations, en fonction des intérêts des États membres, qu'il s'agisse de la position de blocage de la Pologne, du changement de stratégie en Allemagne ou du tout-nucléaire au Royaume-Uni. Pensez-vous que nous traversons une phase de recul ?