L'articulation entre le contrôle parlementaire et les décisions prises par les mécanismes européens de stabilité, qui engagent de manière décisive nos finances publiques, me semble, et c'est le moins que l'on puisse dire, perfectible. Il ne faudra pas bafouer les droits légitimes du Parlement à déterminer l'équilibre des finances publiques de la France. Nous devons donc trouver une manière faire différemment pour efficacement contrôler le FESF et le MES.