Je le dis souvent : pendant longtemps, en Moselle, nous n'avions pas du tout d'Italiens dans nos maisons de retraite, car ils étaient pris en charge par leur famille. Aujourd'hui, les mentalités ont changé. Il en ira de même pour les personnes venues du Maghreb ou du Sahel : ce n'est pas dans leur culture aujourd'hui, mais cela changera vite.