Si ces pratiques sont systématiques, elles sont discriminatoires. Demander un diplôme de langue française à un primo-arrivant répond à une certaine logique, puisqu'il peut bénéficier de dispositifs de droit commun, mais il s'agit d'une forme ciblée de discrimination quand cette demande est formulée à l'endroit d'immigrés âgés qui, eux, n'ont pas pu bénéficier des mêmes dispositifs.