Si je peux me permettre, monsieur le ministre, vous devriez tout de même vous appuyer sur les expériences qui ont déjà été menées, qui montrent qu'il est possible de diviser par deux l'échec scolaire en matière de lecture. Refonder, pourquoi pas ? Mais appuyons-nous sur ce qui existe.
Le but de cet amendement est uniquement de valider ce qui a été fait de façon expérimentale. Certes, il est ici question d'un programme mis en place au cours préparatoire, alors que nous savons que l'apprentissage de la lecture doit être commencé un peu plus tôt, notamment avec l'épellation phonétique, mais cet amendement n'est pas là pour faire diversion : il est bel et bien au coeur de ce que nous souhaitons, c'est-à-dire acter ce qui a donné des résultats probants au niveau expérimental, avant de le généraliser éventuellement.