Cet amendement me paraît effectivement très important. Je suis très heureuse que les députés de l'UMP se soient rangés à mon avis, alors qu'en première lecture ils ne partageaient pas du tout cette position : ils demandaient un simple retour au socle, tel qu'il existe dans la loi actuelle, mais ne se référaient pas aux compétences clés recommandées par le Parlement et le Conseil européens.
Pourquoi cet amendement ? Parce que je maintiens – et sur ce point, mais ce point-là seulement, je rejoins l'opposition sur ce point – qu'il est dommage de nous dessaisir complètement de la définition du socle : c'est une de nos prérogatives de parlementaires que nous perdons.