Si, vous nous avez reproché de vouloir faire siéger des personnalités qui ne seraient ni représentatives ni compétentes. Il ne faut pas confondre les amendements. Si l'un d'eux tendait à élargir la composition en l'ouvrant aux représentants des collectivités locales, à ceux des parents d'élèves, etc. – et je peux comprendre que cela fasse débat –, les amendements nos 88 rectifié et 242 visent simplement à ce que les personnalités choisies pour leur compétence le soient par les présidents de l'Assemblée nationale, du Sénat et du Conseil économique, social et environnemental. Déniez-vous à ces personnages la capacité ou la légitimité à choisir des personnes qualifiées ? Est-ce là l'apanage du ministère de l'éducation, monsieur le rapporteur ?