On a bien vu qu'au fur et à mesure, les modalités d'application ont évolué, pour s'adapter à un terrain qui, visiblement, avait été mal apprécié.
Oui, l'intérêt de l'élève réclame effectivement un réaménagement du temps scolaire, mais non, les modalités à la hussarde qui ont été employées n'ont servi ni les élèves, ni les parents, ni les collectivités, ni l'État.