Sur de tels sujets, il n'y a pas d'heure, mon cher collègue.
J'entends bien votre réponse, monsieur le ministre, et je vous remercie pour son exhaustivité. Deux remarques. D'abord, on ne peut pas réduire la famille à un déterminisme, on ne peut la voir exclusivement comme une contrainte – à laquelle il faut « arracher » l'élève. Pour nous, la famille est avant tout un facteur d'épanouissement.