Je me joins aux remerciements du président de la commission, et je les étends à tous les fonctionnaires de l'Assemblée qui ont encore une fois veillé très tard et permis la bonne organisation de ces débats. Je remercie aussi l'ensemble des députés présents pour leur patience et pour l'intérêt de leurs différentes observations.
Je regrette plus que quiconque que le rassemblement n'ait pas été possible autour de ce texte et je constate, désolé, que des choses aussi simples que fixer la priorité au primaire, donner les moyens à l'école publique de fonctionner après des années de difficultés, rétablir une formation des enseignants, créer le service public du numérique sont des objectifs portés uniquement par les forces de progrès.