Il serait sans doute bon d'harmoniser la façon dont on évalue le bénévolat : pour les Restos du coeur, l'évaluation est plutôt que 63 000 bénévoles correspondent à un budget de 150 millions. Peu importe. Au-delà de l'aspect économique, les bénévoles prennent le temps d'accueillir, d'écouter : cela ne s'estime pas. Cela produit pourtant très certainement des économies gigantesques en termes de santé, physique et psychique.