Tous justifiaient ces positions au nom de la défense de notre système de protection sociale. Chez vous, cela n'est resté que des mots ; chez nous, ce sont des actes ! Je vous rappelle que cela concernera moins de 12 % des familles, les plus aisées.
Il faudrait rappeler les sondages qui démontrent que l'opinion publique est favorable à ce que notre système de protection sociale, en ces temps de crise et de précarisation, s'adresse d'abord à ceux qui en ont le plus besoin.
Quant aux places de crèche, pensez-vous pouvoir, en tant que maire, mener une politique en expliquant à vos concitoyens que vous ne ferez rien à ce sujet ? Je vous donne rendez-vous aux municipales, en 2014 !