Monsieur le député, vous n'êtes pas sans connaître les conditions dans lesquelles nous avons construit une stratégie de reprise de deux usines qui sont étroitement imbriquées : celle de Saint-Jean-de-Maurienne, située en Savoie et qui fabrique de l'aluminium primaire, et celle de Castelsarrasin. Elles appartiennent toutes deux à Rio Tinto.
Cette entreprise appartenait autrefois au groupe Péchiney. La Commission européenne avait interdit à Péchiney d'absorber Alcan, ce fut finalement Alcan qui absorba Péchiney, et Rio Tinto qui mangea Alcan.