Comme l'a mentionné Mme Bonneton, j'avais déposé un amendement qui visait à définir la notion d'obsolescence programmée et à l'inscrire dans le code de la consommation en tant que pratique trompeuse. Je l'ai néanmoins retiré, la discussion m'ayant convaincu de la nécessité de conduire une étude d'impact approfondie afin de préciser la portée de cette notion selon la nature des produits et d'évaluer l'effet du marketing et de la mode. Par ailleurs, exiger la fiabilité des produits revient à promouvoir les entreprises françaises, et encourager la réparation crée des emplois non délocalisables.