Ce texte jette en réalité l'opprobre sur l'ensemble du personnel politique, et c'est son premier tort. Il fait passer la quasi-totalité d'entre nous, qui sommes dévoués et honnêtes, pour des personnes incapables de faire le départ entre leur intérêt personnel et leurs responsabilités publiques. Nous en serions à ce point incapables qu'il faudrait nous encadrer très strictement pour empêcher les débordements.