Pourquoi pas, en effet, mais si tel n'est pas notre choix ? Là est le problème. Si nous ne le souhaitons pas, nous devons pouvoir choisir d'exercer d'autres activités.
J'en viens à la protection de la vie privée. Ce texte pose le principe de l'accès, par tout électeur – pas tout le monde, mais tout de même un certain nombre de personnes –, à des éléments relatifs à la vie privée des parlementaires et celle de leur famille. J'ai évoqué le sujet en commission mais je ne me souviens pas avoir obtenu de réponse. Tous ceux d'entre nous qui sont mariés sous le régime de la communauté, qu'elle soit réduite aux acquêts ou universelle, ne sont pas les seuls possesseurs de leur patrimoine. C'est pour cette raison que j'ai déposé quelques amendements pour préciser que seul le patrimoine propre de l'élu serait accessible.