Le Secrétaire général de l'ONU a donné un accord à cette mission, ce qui est le plus important. Le processus se met aujourd'hui en route.
L'élection présidentielle doit avoir lieu fin juillet et nous ne voulons pas que le processus électoral soit remis en cause. Seul le président élu pourra finaliser la réconciliation.
S'agissant des négociations en cours, le texte du compromis prévoit effectivement la création d'une commission de sécurité mixte. Mais ce compromis, que nous soutenons, n'est pas encore acté.