Concernant la Mauritanie, je ne peux, bien que cela relève plutôt du ministre des Affaires étrangères, que vous apporter une confirmation. Je vous rappelle à ce propos que l'un de nos otages a été enlevé entre la Mauritanie et le Mali ; la plus grande vigilance s'impose donc.
Pour ce qui est des otages, je peux seulement vous indiquer que nous n'avons jamais été aussi actifs et que je comprends la souffrance des familles.