Sauf que, lorsque vous êtes arrivés au pouvoir, la Banque centrale européenne de Mario Draghi avait déjà, sous l'impulsion de la France et en dépit des réticences de l'Allemagne, apporté 207 milliards d'euros pour racheter les dettes souveraines. Donc, là non plus, rien de nouveau.
Je passe sur le contrôle du secteur bancaire de Michel Barnier, sur les eurobonds, qui ont totalement disparu de votre vocabulaire, pour revenir sur les project bonds qui auraient été utiles lorsque nous les avons proposés. Vous les jugiez à l'époque insuffisants parce qu'il n'y avait pas de plan de relance français. Comme vous avez supprimé tous les grands investissements français, je vois mal comment ils pourront fonctionner de manière efficace.