Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, monsieur le ministre délégué chargé des affaires européennes, mesdames, messieurs les députés, ce débat sur le Traité budgétaire européen restera comme un grand moment d'hypocrisie socialiste. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Les propos caricaturaux que nous venons d'entendre de la part de Mme Grelier me confirment dans cette impression. Je lui rappelle que la taxe sur les transactions financières, qui n'est pas spécialement libérale, c'est la majorité précédente qui l'a fait adopter.