Je vous propose enfin, monsieur le Premier ministre, que les parlements nationaux retrouvent leur capacité à exprimer un avis, un jugement sur les décisions européennes qui engagent l'avenir de notre nation.
Ma deuxième proposition, monsieur le Premier ministre, tend à mettre une nouvelle cohérence dans la construction européenne. Il faut une convergence fiscale européenne. Personne ne peut accepter qu'en Europe, certains États membres de la zone euro aient un taux d'impôt sur les sociétés à 0 %, d'autres un taux à 33 %.