Il s'agit donc de s'interroger sur le contenu du rapport annuel présenté par le ministre des affaires étrangères aux élus qui siègent à l'Assemblée des Français de l'étranger sur les sujets qui les intéressent directement, de manière non exhaustive, tel que c'est décrit dans le projet de loi.
Il ne s'agit pas de ressortir des thématiques de campagne pour montrer que l'on s'intéresse plus à l'entreprenariat ou à la fiscalité et moins, par exemple, à l'enseignement bilingue qui pourrait être proposé aux familles qui n'ont pas la chance de scolariser leurs enfants dans des établissements français.