Nous sommes contents d'arriver au terme de ces débats. Cette réforme était voulue par tous, sur tous les bancs ; et surtout, c'est une grande avancée pour élargir le collège électoral des sénateurs.
Nous nous réjouissons également qu'ait été conservé le nom de l'Assemblée des Français de l'étranger, ce que tout le monde souhaitait.
En revanche, nous regrettons de ne toujours pas savoir ce que sera vraiment le mandat des conseillers de cette assemblée, comme nous regrettons que ceux-ci ne soient pas élus au suffrage universel direct. Nous ne sommes plus intervenus sur ce point lors de cette nouvelle lecture. Il fallait en effet trouver un consensus et, puisque leur mandat n'était pas défini, le fait qu'ils soient élus au suffrage direct ou au suffrage indirect n'avait plus d'importance.