Au sein de la filière, il n'y a pas d'un côté les bons et de l'autre, les méchants. Tous partagent la volonté d'aller le plus loin possible sur la transparence et de voir émerger des labels de qualité. Mais la restauration est un secteur complexe. On ne peut donc, monsieur Fasquelle, se rallier à votre argument pivot consistant à dire que, puisqu'on l'a fait pour la boulangerie, pourquoi pas ne pas l'étendre à la restauration ?
Tout simplement, parce qu'un restaurant n'est pas une boulangerie !