Il n'empêche ! Je reste persuadée de la connotation symbolique du terme « fait maison ».
Cette appellation permettra ainsi un partage entre le restaurateur et le consommateur, car elle suscitera chez ce dernier des questions : comment ce plat a-t-il été fait, avec quels produits, selon quelles techniques ?
Je trouve que cette appellation est pertinente ; la clientèle et même les touristes se l'approprieront très vite, j'en suis certaine. Inutile d'ailleurs de la traduire en anglais ou en chinois : il existe déjà suffisamment d'appellations anglaises, comme fast-food, en France. Restons-en au « fait maison », sans chercher à le traduire.