Il faut cesser de dire que la pénétration de la gastronomie industrielle est inéluctable, et je me battrai contre cela.
Pour aller au bout de la démarche, je me demande s'il est normal d'appliquer la fiscalité à taux réduit de la même façon à un professionnel qui embauche du personnel et à un professionnel qui se contente de réchauffer dans un four à micro-ondes des plats qu'il a achetés à l'extérieur. Cette question mérite d'être posée.