Sans pour autant me prononcer définitivement – car la réflexion sur le sujet est inépuisable –, je ne vois pas d'obstacle d'ordre constitutionnel à l'adoption de ces amendements. La Constitution elle-même pose d'ailleurs une telle limitation pour le président de la République.
Moi qui prévoyais en toute confiance d'être réélu en 2017 et en 2022, je devrai donc prendre ma retraite de parlementaire à 49 ans : cela me va très bien…