En outre, monsieur Lagarde, vous savez comme moi qu'en commission de surendettement, où nous aurons besoin de l'argument du registre national des crédits, dans la plupart des cas, le capital n'est pas remboursé.
Avant que vous ne nous rejoigniez, je voudrais rappeler, notamment parce que nous en avions parlé tous les deux, que cette assemblée a voté un amendement ramenant les plans de rétablissement personnel de huit à cinq ans.
Cela étant, une fois votée, d'ici quelques minutes, je l'espère, la création du registre national des crédits, les prêteurs immoraux et non responsabilisés en auront pour leur compte.
Avis défavorable.