Je n'arrive pas à me faire entendre, madame la présidente. Je voudrais pourtant parler de choses concrètes. Là, je prends l'exemple d'un artisan et, plus encore, d'un jeune qui ne trouve pas d'emploi salarié, qui est au chômage et qui crée son entreprise. Dans un premier temps, il veut la créer chez lui pour atténuer ses coûts, dans l'espoir de se développer ailleurs plus tard. Que se passe-t-il pour lui ? Il ne le peut pas ! Du moins, il va être soumis à un prélèvement supplémentaire en raison de son activité et du matériel consommant de l'électricité qu'il utilisera dans ce cadre. C'est de cette pénalité que nous ne voulons pas.
Monsieur le rapporteur, je suis convaincu qu'à force d'entendre nos arguments, vous commencez à vous interroger parce que vous êtes, vous aussi, un esprit très concret.