Les éleveurs veulent légitimement pouvoir vivre de leur métier. Beaucoup travaillent à perte et n'ont pas de revenu décent, en dépit des heures travaillées.
Pourtant, ils contribuent non seulement à notre indépendance alimentaire et à sa qualité, mais aussi à l'emploi : derrière chaque éleveur, il y a entre six et huit emplois. C'est le cas, dans mon département de la Mayenne.
Monsieur le Premier ministre, l'agriculture, au même titre que notre industrie, fait partie du redressement productif. Alors mettez les bouchées doubles pour sauver nos éleveurs !