…dont je répète qu'elle est indispensable. Je suis heureux, cependant, que l'agroalimentaire français, une grande partie des enseignes de la grande distribution, ainsi que les producteurs se soient entendus au sein d'un groupe de travail, que nous avons réuni autour de Guillaume Garot, Stéphane Le Foll et moi-même, pour engager l'étiquetage volontaire de la viande de boeuf de France, de la volaille de France, de la viande porcine de France, comme une réponse française, sur la base du volontariat, à la crise de la viande de cheval. Cette affaire, néanmoins, est loin d'être terminée : les professionnels ont certes pris des engagements, mais il faut encore travailler pour obtenir une évolution de la législation européenne et du règlement INCO.