Il est légitime que le consommateur dispose d'informations sur le commerçant à qui il achète un produit. C'est ce que vise l'article en évoquant les « coordonnées ». Mon amendement tend simplement à préciser « postales et téléphoniques ». Cette disposition n'a l'air de rien mais elle répond à une demande des associations de consommateurs dont nous parlions encore récemment.
Cette demande avait d'ailleurs fait l'unanimité lorsque nous examinions le projet de loi sur la consommation sous la précédente législature – je parle sous le contrôle de l'ancien ministre chargé de ces questions –…