Je n'ai pas d'appréciation à porter sur le choix de Germinal Peiro. Il est suffisamment investi quotidiennement dans la défense de l'agriculture pour que je me permette de porter quelque jugement que ce soit sur sa décision – que je peux comprendre au regard de son appartenance à la majorité gouvernementale.
Je tiens à dire cependant, en particulier en m'adressant à M. le ministre, qu'en la matière on se trompe. Mesure-t-on bien ce qui se passe dans le pays ? Mesure-t-on bien le rejet global de nos gestes politiques, de nos bavardages, de nos artifices alors qu'il y a urgence ? Peut-on comprendre que le peuple n'en peut plus de ce type d'approche ? Il n'en peut plus !