La logique aurait dû être dès le départ de prendre le volume en compte. Si vous ne le faites pas, il faut au moins prévoir quelques exceptions. Ne placez pas, par exemple, les veufs et veuves dans la situation de célibataires ! Un célibataire qui commence dans la vie occupe un appartement à la taille de ses besoins. Mais les choses sont ainsi faites que les veufs ont habité une maison où ils ont élevé leurs enfants et qu'ils n'ont pas forcément déménagé parce qu'une maison, c'est une vie, c'est sentimental, c'est une mémoire. On reste donc dans sa maison. Il faut payer la taxe d'habitation, c'est lourd. Il faut payer le foncier, lourd aussi. Alors, qu'on n'ait pas à payer l'impôt Brottes-Batho en plus ! Parce qu'au début, ce ne sont que 25 ou 30 euros, mais qu'on arrivera vite à 50, puis 100… Avec votre gestion impécunieuse, dans quelques années, cet impôt aura explosé ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Pour toutes ces raisons, prenez dès le départ en compte les situations singulières.