On a en effet craint cet automne pour la pérennité du programme Erasmus.
Les prêts qu'il est prévu de garantir pourraient-ils être accordés aussi en complément à des étudiants bénéficiant d'une bourse ?
La formulation retenue à l'alinéa 17 n'est pas assez incisive. On gagnerait à remplacer « souhaite » par « demande » : en effet, il est essentiel que la fongibilité des enveloppes ne s'opère pas au détriment d'actions en faveur des publics les moins enclins, pour des raisons économiques et sociales, à la mobilité, alors que celle-ci est sans doute encore plus cruciale pour eux.
À l'alinéa 19, il est demandé que « la part de l'enveloppe budgétaire consacrée aux mobilités destinées à la formation professionnelle, à la formation technique, notamment à la formation en alternance, soit augmentée. » Mais au détriment de quoi cela se fera-t-il ?
Enfin, à l'alinéa 22, ne serait-il pas plus clair de parler des mobilités proposées dans le cadre de formations en alternance « de tous niveaux » plutôt que « notamment celles relatives aux ingénieurs » ?