J'avais souligné en commission que les règles d'indépendance de cette profession doivent être respectées tout comme ses règles déontologiques : il s'agit là de deux conditions nécessaires au bon exercice du métier de vétérinaire. Tel était l'objet de mon amendement interdisant la détention de parts ou d'actions du capital social des sociétés vétérinaires par des personnes physiques ou morales exerçant à titre professionnel des activités d'élevage, de production d'animaux ou liées aux animaleries, et je me réjouis que cet amendement ait été adopté.