Il était aussi indispensable de maintenir la qualité du service rendu à l'animal et à son détenteur, et d'éviter les dérives financières ou la construction de sociétés à des fins purement capitalistiques. C'est pourquoi j'avais déposé un amendement garantissant que derrière une société, il y ait bien une réalité physique, donc des personnes réellement présentes et qui exercent effectivement le métier de vétérinaire.