À ce moment-là, aucune conférence de presse n'a été organisée pour dénoncer ce déficit !
Lorsque je rappelle que le niveau de déficit nominal de notre pays pendant les années 2009, 2010, 2011 et 2012 a été systématiquement supérieur à 4,5 %, M. le président de la commission des finances a l'amabilité de me répondre : « c'est la crise » ! Mais, monsieur le président, le premier président de la Cour des comptes vous a lui-même répondu devant la commission des finances, en disant qu'en 2010, les deux tiers du déficit de l'État étaient structurels, et qu'un tiers seulement était imputable à la crise !