Comme tout cela vous l'avez mis à bas, comme vous avez méthodiquement fait sauter tous les verrous en juin et juillet 2012, mois funestes, nous pouvons aujourd'hui nourrir les plus grandes inquiétudes sur le dérapage de la dépense publique. Il ne me reste hélas pas de temps pour en parler. Je le ferai tout à l'heure à l'occasion du débat d'orientation budgétaire.
Je pense en tout cas, monsieur le ministre, que le gel et le surgel du budget de l'État, 7 plus 2 milliards d'euros,