Permettez-moi d'aller au bout de mon propos, monsieur le député. Il se trouve que j'ai été son collaborateur, notamment lorsqu'il était conseiller aux relations avec le Parlement. Il est donc assez logique que je le mentionne dans mon intervention.
Dans un bel article paru dans Le Monde, disais-je, il avait fait deux rappels. Il avait tout d'abord souligné qu'il n'était pas souhaitable qu'une formation politique s'applique une règle de non-cumul à elle seule ; je le dis pour répondre à ceux qui, tout à l'heure, nous donnaient un certain nombre de conseils. Il rappelait également que, dans ce vieux pays qu'est la France, très souvent, seule la loi permet d'imposer des choix. Cela a été vrai pour la parité : vous n'en avez pas voulu pour l'élection des conseillers départementaux. Il en va de même pour le cumul : vous nous donnez des leçons sur la manière dont cela doit s'appliquer…