Je pense enfin à Pierre Mauroy, qui fut en même temps Premier ministre dans des circonstances exceptionnelles et maire de Lille, sans qu'il ait semblé que les habitants de sa ville n'aient eu à en pâtir.
En pensant à celles et ceux que vous dénoncez par vos projets de loi, je me remémore cette sentence de Pierre Avril, Olivier Beaud, Laurent Bouvet et Patrick Weil : « Ce n'est pas parce qu'une réforme est populaire qu'elle est une bonne réforme. Ce n'est pas parce qu'elle semble démocratique qu'elle le sera ».