M. Tardy a beau le répéter, il ne s'agit pas d'une taxation nouvelle qui rentrerait dans les caisses de l'État mais d'un système de bonus et de malus partagés entre les consommateurs. Pour que la pédagogie soit efficace, il faut bien parler en euros, quelle que soit la source d'énergie concernée, parce que c'est cette économie-là qui doit être valorisée. Puisqu'on paie des négawatts, ce doit être en euros et pas en pourcentage. C'est la raison pour laquelle je souhaite en rester aux euros.